• Ainsi de suite mister Frick !

     

    Ainsi de suite mister Frick !

     

    XXIème. XXIIème. XXIIIème siècle… C’est la fiesta du tiempo que passa ! Qui n’est pas désormais convaincu que le lit-bé-râlisme va perdurer. S’épanouir. Amener les plus riches à être de plus en plus riches. Les moins moraux à ne plus s’emmerder avec des règles protectrices incompatibles avec la noble loi du profit maximum ! Qui n’est pas convaincu, chez ceux d’ " en-bas ", que le contact est rompu avec ceux d’ " en haut ". Et qu’il n’est pas prêt d’être rétabli, ne serait-ce que parce qu’il n’est en aucun cas désiré par les autres. Ainsi, tout indique que la rupture est consommée, épuisée, sirotée jusqu’au cul du bidon… Mais ceci n’étant pas une épitaphe, il ne saurait être question que ce mini-texte se termine sur une constat de désespérance globale. Z’au contraire ! Tirons de cette histoire une leçon de lucidité. Ce n’est pas parce que le désert est vaste et les vautours inamicaux que la caravane doit (voire peu) rebrousser chemin ! Que peste ! Faisons désormais contre cette mauvaise fortune inévitable le meilleur cœur. Si les riches, bon an, mal an, ne veulent pas entendre parler de ces visqueux de pauvres, indigènes d’ailleurs, misérables sans terres ou métèques cosmopolites, c’est à eux (donc nous-mêmes) de se mobiliser. Réinventons des solidarités. Luttons contre cette atomisation des consciences qui s’applique à nous réduire au rôle exclusif de con-sommateurs. Réveillons-nous bordel et n’hésitons pas à tendre les bras, la main, le pied, tout ce qui rapproche, vers l’autre qui passe. Bordel à cul, lu-ttons ! BISES.

     

    Dédou Pacificum


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