•  

    Ainsi de suite mister Frick !

     

    XXIème. XXIIème. XXIIIème siècle… C’est la fiesta du tiempo que passa ! Qui n’est pas désormais convaincu que le lit-bé-râlisme va perdurer. S’épanouir. Amener les plus riches à être de plus en plus riches. Les moins moraux à ne plus s’emmerder avec des règles protectrices incompatibles avec la noble loi du profit maximum ! Qui n’est pas convaincu, chez ceux d’ " en-bas ", que le contact est rompu avec ceux d’ " en haut ". Et qu’il n’est pas prêt d’être rétabli, ne serait-ce que parce qu’il n’est en aucun cas désiré par les autres. Ainsi, tout indique que la rupture est consommée, épuisée, sirotée jusqu’au cul du bidon… Mais ceci n’étant pas une épitaphe, il ne saurait être question que ce mini-texte se termine sur une constat de désespérance globale. Z’au contraire ! Tirons de cette histoire une leçon de lucidité. Ce n’est pas parce que le désert est vaste et les vautours inamicaux que la caravane doit (voire peu) rebrousser chemin ! Que peste ! Faisons désormais contre cette mauvaise fortune inévitable le meilleur cœur. Si les riches, bon an, mal an, ne veulent pas entendre parler de ces visqueux de pauvres, indigènes d’ailleurs, misérables sans terres ou métèques cosmopolites, c’est à eux (donc nous-mêmes) de se mobiliser. Réinventons des solidarités. Luttons contre cette atomisation des consciences qui s’applique à nous réduire au rôle exclusif de con-sommateurs. Réveillons-nous bordel et n’hésitons pas à tendre les bras, la main, le pied, tout ce qui rapproche, vers l’autre qui passe. Bordel à cul, lu-ttons ! BISES.

     

    Dédou Pacificum


    votre commentaire
  • Serait-ce le moment ?

     

    Si Dieu existe, il pourrait être dans l’entre-deux. Ni là, ni ailleurs. Ni être, ni non-être. Quelque part dans ce passage à l’acte qui fait devenir. Cette poétique de l’instant où se fait un passage … En fait, je ne voulais pas aborder la Question. Mais l’essentiel vient parfois s’imposer quand le superfétatoire tourne à l’embolie. Donc, on le chasse. On le relègue dans un recoin mystique ou sous un rond de bouteille. Et une fois que c’est fait on en revient à l’existence. Celle qui succède à l’Essence … Pour parler emmerdes. Pétrole. Plus-values. Magouilles zétatiques. Et bordels ordinaires de la gestion publique. Et voilà ! On y est encore ! On en revient à ce grand absent qui n’est pas Dieu. Cet intérêt commun, général, public, comme on le sent … en tout cas ce principe originel (parce qu’un humain tout seul est depuis toujours un humain mort) qui aide les organisations humaines à se déployer sans négliger la moindre sous-partie du groupe, fut-elle contreproductive, âgée, difforme ou bègue. Cet intérêt là, pecheure, c’est celui qui dit de temps en temps au plus fort de se calmer pour que les zautres puissent vivre. En démocratie, celui qui est investi d’une quelconque autorité est en premier lieu censé le défendre. Alors pourquoi on a ce sentiment d’abandon croissant ? Pourquoi la Démocratie est-elle de plus en plus infoutue de démontrer qu’elle n’est pas là pour permettre aux forts de tout piétiner ? Eh bien, je ne répondrai pas. J’irai une fois de plus me servir un casanis et me passer un bon film. Que chacun cherche sa réponse. Et sa solution. C’est peut être le moment de réapprendre à réfléchir. Pour se rendre facilement compte que dans ce piétinement, il y a une bonne dose de passivité, voire de complaisance de notre part … Tu me mets deux glaçons, Ginette et double dosette aussi ! ! ! Merci.

     

    Dédou Ethylicum


    votre commentaire
  •  Le loup et zagneaux

    C’est la Madonne cette chevrinette ! M’adonnerais-je à la médisance que j’aurais bien du mal à en dire d’elle. Qu’elle aime les petits zenfants qui sont gentils et qu’elle voudrait tous les zaider ! Comme quoi EuroDysney ça ne sert pas qu’à rien. Tu y emmènes une Belle et elle bêle. De ce bêlement attendrissant qui rassure et qui berce, qui fait plaisir à mémé, qui arrache un gros sourire à pépé et qui fait dire en chœur " elle est pas belle la petite chèvre de monsieur Seguin ? ", pendant que le loup lui-même, qui n’en est pas moins zhomme répète à l’envie " c’est du sérieux ! c’est du sérieux ! fan de chichourles, elle se battra jusqu’au petit matin pour les petits enfants et les petits papiers de son grand loup ! ". C’est du sèrieux, je te le dis … La République est adroite. Elle a désormais l’agilité d’une chèvre et la finesse d’un loup. C’est du lourd ! Du durable et du râble pour tous. Pendant que discrètement, mais sans malice, la meute grignote tout ce qui dépasse (même les zorteils et la petite retraite de pépé et de mémé). Alors, Aznavour, lève toi sur la pointe du pied ! Robin des Bois sors du bois (meum …) ! José Bové mets la charrue et sors les bœufs ! Bon, quoi, que tous les vrais gentils se montrent un peu ! Qu’on chante encore un peu muss es sein es muss sein ou Allende (NDLR : de Léo Ferré) avant de ne plus bêler sans trop savoir pourquoi : cons nous sommes et heureux en plus ; vive les chèvres et les grands loups ; pas d’issue, pas d’issue …

    Dédou LF


    votre commentaire
  • Les médias entre les oreilles

    Le sordide traité sous une forme médiatique est un spectacle dont on est en droit de craindre l’ambiguïté. Procès d’un tortionnaire. Confessions d’un pervers. Description d’un meurtre. L’écoute a un prix. L’indifférence de la passivité ordinaire. La complaisance par habitude. L’oubli de soi en tant que personne capable de jugement personnel… Nous ne savons pas toujours où nous mène l’absorption du fait divers rabâché sur tous les médias. Demeurer conscient que ce fait là n’est pas relaté pour rien (tant d’autres sont tus, alors pourquoi celui là) est un minimum. S’interroger sur sa propre émotion peut être une obligation. On se demande bien ce que l’on mange avant de le porter à la bouche … Sachant qu’il n’est pas exclu que nous soit proposée de la merde emballée, la réticence vis à vis de l’alimentaire va croissante. Idem donc pour les oreilles et les yeux, demandons-nous avec la même exigence ce que nous nous enfonçons (ou acceptons que l’on nous enfonce) dedans. Observons-nous écouter et voir. Quelles suites en découlent ? Où en sommes-nous par rapport à nous-mêmes ? Plus émus que par le passé ? Lassés ? Intéressés par le spectacle comme s’il s’agissait d’une fiction ? Etonnés des commentaires et des récupérations politiciennes ? Maldious, n’acceptons jamais en tout cas de somnoler face à cela. Nous aurions déjà une oreille ou deux dans la tombe. Et là, plus rien n’a aucun goût.

    A bon cuisineur, salut.

    Dédou


    votre commentaire
  •  

    On va morfler !

    Morflare. Morflarum. Qu’on me dise d’où vient ce mot-maudit qui s’entend à Marseille quand y va y avoir du sang ! Morfler rime bien avec enfler, un peu avec mort, pas du tout avec amore. Et dans une ville aussi italo-méditerranéenne que la belle phocénne, il faut toujours rimer avec amore si on veut que ça tourne un peu ! Bref, on va morfler par tous ces boursicotages qui se déploient. Ces opérations où tu mises cent, tu revends pour le double et tu laisses mille chômeurs sur le carreau. Oui, ce système légal où des gens mettent la main sur des entreprises. A distance. Par la finance, pas l’envie que ça marche. Le cas échéant revendent des bâtiments et des machines, disent haut et fort qu’ils ont " assaini ", qu’ils ont servi une belle plus-value à quelques déjà gras, ce qui fait saliver et encore monter les actions, et repartent avec le beurre et l’argent du beurre. Pareil pour les matières premières et tout ce qui se vend. Nous sommes à l’ère du bénèf’rapido ; cette belle époque où quelques’uns se gavent et tous les autres y laissent leur peau. Alors, moi je dis les pépères, cessons d’élire des gens dont on sait qu’ils seront nécessairement complices de ce sale système. Cherchons des alter, des antis et des contre-capitalistes qui mettront des freins à ce pillage qui nous mène tous à la faillite (sauf eux, bien sûr). Et combien de temps ça durera de toute façon ? A créer toute cette désespérance, il faudra plus que des condominiums gardés et des bunkers sous Genève pour que l’humanité traîne encore un peu sa carcasse sur cette terre. Bon, j’ai le vin mauvais ce soir. C’est vrai. Mais, merde tout ça me paraît indigne …

    Dédou Antiboursicotum


    votre commentaire
  •  Sea, sexe and péesse

    Le péesse est comme tout le monde le sait un parti peau-lithique qui se chercheu. Il se chercheu tout le temps, depuis bien longtemps. De motions en motions. De con-grés ou de force. Dans cette position très gauloise du coq chantant les pieds dans la bouse pour épater les poules zélectrices. Au-moins me direz-vous, c’est un Parti ! Avec ce gros P péripatétique qui justifie la multitude de ses va et vient. Et quand y’a du va et vient, me rejouterez-vouze, y’a au-moins du sport, du changement postural, voire du sexe tacite ou rémanent. Car que bien sûr, il faut du rêve pour que le monde avance et que ses zélus se fassent zélire. Et le rêve, freudement parlant, c’est le domaine du sac à pulsions, du refoulé, du non-dit et de l’onamisme drapulaire nocturne. Oui, DRAPULAIRE. Car ce sont les draps qui attestent de tout ce ça. Qu’on le voudrait pas, on aurait quand même droit à leur témoignage matutinal. Alors, moi je dis : mais qu’on sorte les draps du péesse sur la place publique en indiquant de quels lits ils viennent ! On pourrait ensuite proposer à des peau-lithologues d’interpréter les taches. Et à des lavandières de remettre les compteurs à zéro. Il faudrait ensuite les cacher, juste pour éviter qu’un de ceux qui signe la nuit de ce Z tout noir ne vienne s’approprier le blanchiment du parti. Juste avant que les mi-litants mi-réveillés n’aient le temps de re-mobiliser leurs nœuds-rones, de se dire que pétard d’escopette y’aurait moyen de faire de la peau-lithique autrement qu’en servant la soupe à nos zindécrottables zélus et de vouloir faire jouer la démocratie interne. Y risqueraient même, comme dans l’hôtellerie, de se rendre compte que les draps ça doit servir qu’une fois et qu’après faut les changer (je reconnais, pas tous les jours, mais au-moins à la fin de chaque mandat). En clair, contre l’accumulation des pollutions nocturnes : halte au cumul transversal et longitudinal des mandats zélectifs (crois-moi Ginette quand tu auras fait mairesse quelques années, tu pourras former ta première adjointe pour passer le flambeau !).

    Dédou Péessiculum


    votre commentaire
  • Berlusconi et compagnie

    BERLUSCONI ? ! Oui, oui, c’est un " ami " de la France, dixit le chef de l’Etat et de l’Elysée. POUTINE, c’est un copain aussi ; on peut même aller boire un coup chez lui quand on veut Ginette et moi. BOUCHE ou BUCHE, je sais plus trop, c’est mon meilleur pote : il a un ranche et des chevaux et il aime tous les ELVIS du monde ! Le PAPE, ne m’en parlez pas, on s’tape sur le bide chaque fois qu’on se croise au kremlin ou au Vatican. Reste CASIMODO, celui-là, je sais pas trop… Bref, certaines années sont d’office des grands crus. Et ce PARKER qui prétend que pour faire le meilleur vin il suffit d’avoir les meilleurs raisins, quel clown ! En fait, il suffit d’avoir un peu de culot (de bouteille !) et deux grosses cerises. Avec ça, tu te pointes par ci, tu remues par là, on te filme ou tu vends les images de toi qu’elles sont les moins mauvaises ou les plus appropriées à la situation (la main tendue ! à genoux devant Notre Dame ! Fier comme un bar tabac devant le drap-peau …) et le tour de passe-passe est joué ! Ah, oui, j’oubliais : tu peux aussi tourner dans un X movie (genre X-file à tout c’qui bouge) et te faire passer, avec un bon montage et des scènes en boucle, pour un zétalon du 3ème type. Parce que oui-oui, nous sommes sur une scène où le paraître ma bonne dame se suffit t’à lui-même et où les couillus serrent sans souci le kiki à toutes ces cohortes d’experts, de sages et de chercheurs d’embrouilles qui encombrent les zacadémies, les laboratoires et les monastères. Oh que oui la double cerise est la panacée ! On finira d’ailleurs par remplacer les étoiles du drapeau européen par des cerises bien remplies. Et tant qu’à faire, plutôt que d’enseigner la citoyenneté aux gamins, on pourrait à l’occasion leur offrir du cul sur tous les écrans, du flon-flon, des paillettes, avec en subliminal le portrait des grands hommes qui nous gouvernent. Non, je déconne, pour le cul, ça échauffe et ça fait circuler le sang ; y risquerait d’arriver par mégarde au cerveau de certains. Donc, action : des bagnoles, de la jet-set, du Foucault (pas le philosophe, l’autre), et de la téloche berlusconienne ! (Ginette, fais-moi penser à renouveler mon abonnement au " Chasseur de Cagoles ").

     

    DEDOU PATETICOPOULOS


    votre commentaire
  •  Y’a plus d’saisons !

    Alors, si c’est pas carnaval, c’est quoi ? Sont-ce des masques pour faire peur ? Pleuvra-t-il vraiment demain des saucisses et Nicodème est-il sans rire la réincarnation d'Elvis ? Car mais voui, c’est celui qui le dit qui l’est (laid ?). C’est du jeu de belles jambes et du pas de dix. C’est un peu à la tire toi de là connard ou tu glisses. Ou tu glisses ? Que voui ! Car tu glisses désormais plus vite que t’as le temps d’y penser. Tu sais même pas pourquoi et te voilà (voilé ?) embastillé. Certes, plus d’un est Chinois dans ces embastillades et là c’est bien normal : tu dissides, tu trinques ! Certes au Tibet, là, si t’es pas Chinois, c’est que tu dissides : tu trinques et retrinques (deux fois pour que tu comprennes mieux). Certes, chez les Russes, c’est parfois pire : tu pointes du doigt, on te le coupe, cul sec ! Certes, l’Amérique est scientologisée, ogéméisée, militarisée, mais c’est le fanal (feu’anal ?) du monde dit civilisé : là aussi, tu frappes à la porte, tu trinques et tu paies la facture du district attorney (c’est la dure loi du marché, du sport et du porc où tout se mange). Bon, reste notre vieille Europe, complètement à l’Ouest. Si tu l’ouvres, là, tu finis par trinquer, mais avec un doigt de ce que tu veux. Encore que de plus en plus t’ais plus trop le choix qu’entre pognon, nichons et mauvais vins pour tous les couillons du con-tinent. Alors, moi je dis, Elvis, reviens et chasse l’usurpateur hors du temple ! Rends-nous la force de construire un monde rock and roll où les matraques ne se déguisent pas en rouleaux de printemps et les camemberts en présidents ? Rends au Normands leur calva et à Ginette l’été de ses vingt ans ! Et protège nous du mal. Amène.

    Dédou Météorologicum


    votre commentaire
  • Rhizome ou tasse de thé ?

    Les écrans ouverts sur le vaste monde sont de plus en plus clairs. Pas que les couleurs s’affadissent. Au contraire, les tons sang et or (sur les Ferraris, les Rollex et autres zobjets destinés aux zélites) font tâche d’encre. Non, non, c’est le message qui se limpidifie et s’harmonise sur tous les frontons médiatiques : NOUS Y SOMMES ! Voilà, ça y est ! L’humanité s’est enfin trouvée. Et elle sait que c’est son appétit qui la domine. Alors le reste … les zabstractions zutopistes … les trucs qu’on comprend même pas en trois mots et qui te font rien gagner … les conneries de bonzes, lamas et autres jésus des zantipodes. Toutes ces zinutilités on s’en fout. Ou on en fait débat et c’est bien pareil. Parce que tous ces principes dont on discute à plus finir, c’est bien qu’ils sont pas vrais dans l’absolu. Sinon on en discuterait pas. Alors que quand nos patrons-présidents se rencontrent pour signer de volumineux contrats, y’a’pas débat. On parle milliards ! Pas complexité du monde, interdépendance des zoiseaux , des mouches et des cultures industrielles, pas changement de climax ou max d’infos avant de prendre la bonne décision. LE MILLIARD, y’a rien de plus clair. On peut en faire des émissions de TV, pour jouer à celui qui décide en modèle réduit. On peut facilement faire comprendre, même au plus con des Marseillais, à quel point c’est important. On peut tout justifier sans qu’on échappe à la question résignée du " et kèsqu’on pouvait y faire d’autre ? ? ? ". Avec comme seule réponse : RIEN ! Rien de rien. Tout ça étant le complément du " nous y sommes " et de la somme de nos " riens ". Alors voilà. On peut rester assis et attendre, et même se mettre au thé pour ressembler encore un peu plus à Elisabeth des Anglais dans son immuabilité. On peut aussi s’offrir une Rollex et même une fausse parce que ce genre d’instrument au-moins ça montre le temps qui passe ; vague notion qui peut aider à comprendre que tout est souvent plus précaire en ce bas-monde que l’humain s’efforce à le croire. ET VIVA VALPOLICELLA (servi autour de 18°).

    Dédou Philosophicum


    votre commentaire
  • DONC ON LE TIENT !

    Quart d’heure pub ! Je n’ai pas encore lu " Le Funambule " et sa " sélection de 130 poèmes " de Jean-Louis Vassallucci, annoncés comme de bons produits de l’écriture automatique rédigés durant une vingtaine d'années (1980-2000, je crois - et certains sont même en ligne sur Antimeandres), le tout paru fin mars 2008 aux Editions Syracuse (Nice). Mais je vais quand même en dire du mal ! Car, voyez-vous c’est une terrible habitude me concernant : je dis du mal et ça me fait du bien. Donc voilà, je connais l’homme. Grand, costaud, cheveux rares et courts, gros pif, QI reconnaissons-le assez correct, et même sportif. Alors qu’est-ce-ki-nous-zemmerde à faire le poète çuilà ? On l’imagine mieux sur sa bécane en route vers une obscure réunion militante dans un centre social rez-de-cité dans son Marseille à lui (c’est à dire pas le Vieux-Port où ses ancêtres ont pourtant pris racine il y a cent cinquante ans mais le grand Nord des HLM où tu trouves même pas un bistrot pour te détendre). Et c’est ça l’idée, comment un type qui cherche pas à se détendre peut devenir poète ? Ben, certainement en écrivant sous pilotage automatique ! Que diantre. C’était donc ça, l’être que voilà ne chante pas le bonheur, mais l’être lui-même. Coquin de sort, le voilà à nu. Pas physiquement, parce que j’ose pas imaginer la bedaine, mais pchychologiquement et tout ça. ET DONC ON LE TIENT ! On va tout savoir de ses fantasmes, ses angoisses et ses relations avec sa mère. Thème du prochain édito de moi-même (après lecture du " Funambule " quand même) : Comment psychanalyser sévère l’intello-militant de service ! Et que ça saigne…

    Dédou Apérétivum (quand même chargé pour le compte)


    votre commentaire
  • Miss France la Chinoise

     

    C’est fait ! Comme ça, c’est clair : miss France 2008 ne pourra plus porter son écharpe de Miss. Madame de Fontenay n’avait que trop attendu et il s’en fallait de peu que les bornes ne fussent franchies. Nous les Frenchies on a pas l’habitude (l’habit’nude ? la bit’rude ? ? ?) de s’en laisser compter par ceux qui ne respectent RIEN : ni les principes moraux (mots-rots ? encore que çuilà je l’ai déjà fait) les plus élémentaires issus du siècle des Lumières et du Bien et du Mal par-delà desquels il ne faut’pas z’aller, ni l’affichage responsable et conforme au standing de pâterie des Droits de l’Homme que nous zattendons de ceux qui portent une écharpe bleu-blanc-rouge fut elle mise en travers d'un bikini ! Bref, moi je l’aime bien Miss Bègue. Elle a un nom à en reprendre. MAIS FAUT PAS ACCEPTER QU’ELLE ENVAHISSE LE TIBET ! Et pour plusieurs raisons : d’abord, c’est trop loin de Marseille pour qu’on puisse aller y faire du ski, ensuite il y fait trop froid pour Ginette, enfin les Chinois y sont déjà ! Nonobstant les deux premières raisons et en faisant ostensiblement preuve de réalisme politique, la troisième devrait suffire pour qu’on ne laisse plus du tout la Bègue approcher le moindre chiffon rouge-bleu,-blanc. Conséquemment, je recommande qu’elle soit éventuellement placée en résidence surveillée à mon domicile personnel (Dieu m’est témoin que je l’aurai à l’œil et que Ginette ne me quittera pas des yeux) et surtout éloignée de tous ces Tibétains zé Anarchistes de tous bords qui font circuler des pétitions urgentes engageant le gouvernement chinois à respecter les droits de l'Homme au Tibet (pas gonflés les mecs !) et à engager le dialogue avec le Dalai-Lama du genre : http://www.avaaz.org/fr/tibet_end_the_violence/ . C’est tout pour aujourd’hui, mais il fallait en parler. Et vive le sport !

    Dédou Boycotarum


    votre commentaire
  •  Amor t’Adèle

    Une fois n’est pas coutume, nous nous z’en allons critiquer. C’est que ça fait du bien parfois … Alors voilà, si Ernst Junger fut pris sous son aile par Brecht (le premier, passablement nazi, aurait pu avoir de gros soucis si le second, tout coco-communiste, ne l’avait pas défendu en 1945), c’est que MoDem peut bien épouser qui elle veut ! Car, répétons-le (pour paraphraser Guitry), tout est dans tout et parfois bien profondément imbriqué quand on y met du sien. Pour ne pas cesser d’être grossier, on pourrait dire que lorsqu’il s’agit d’enfler les peuples les queues de billard ne manquent pas sur le tapis du billard politique. Serais-je polémique ? Nous niquerait-t-on ? Bien sûr que non, car en démon-cratie, nous ne niquons que nous-mêmes. Benoîtement et la bouche bée, nous savons, nous subodorons, nous nous émouvons que la caravane passe et que nos principes moraux (mots-rots) trépassent, et pourtant tout dure dans la bananeraie de moins en moins dissimulée où viennent goulûment festoyer MoDem, ses prétendants et la ribambelle de leurs courtisans. Mais où z’allons nous donc me direz-vous ? Car si nous savons et ne faisons rien, c’est que nous ne pouvons rien faire et que nous sommes z’impuissants ? Et donc nous serions condamnés à la niquaison de ceux qui peuvent ! Bref, comme cette Adèle (que l’on dit putain) nous serions les victimes consentantes de nos enfleurs de peuples ? Et nous z’aimerions ça au fond ? Et bien moi je vous dis que non. QUE NON ! C’est ce que l’on veut nous faire croire ! Mais oui Ginette, j’te’l’dis. Croives moi ! l’amor d’Adèle est conditionné par les médias et les moyens de conditionnement des masses (non, j’ai pas dit qu’il faut que tu m’la masses – laisses moi finir !). Bref, c’est tout. On va finir par croire qu ‘élections-piège-à-con demeure le seul mot d’ordre possible … A bonzes entendeurs encor’salut.

    Dédou Politicum Perseverarum


    votre commentaire
  • Sempiternalitude

    Sempiternalité et trombonitude sont les deux mamelles prolifiques de l’affabulation politicienne qui nous est servie réchauffée à chaque élection, disons depuis deux cent ans environ ; avant, pas de souci, nos monarques issus du droit du plus fort à affirmer que Dieu les a autorisés à asservir leurs prochains annonçaient plus ou moins clairement la couleur. Alors que non de non, les zélus auxquels des élections confèrent le gouvernement d’un morceau de nation ont nécessairement besoin semble-t-il d’un habillage de légitimation pour justifier qu’ils sont là où ils sont par et pour le Peuple des zélecteurs. Avec l’idée que pour se pérenniser eux-mêmes leurs histoires doivent nous la sempiternaliser et nous la tromboniser (du nom de ce cuivre qui la joue grave) du style : " que je l’aime, que je l’aime ma mairie ou ma région, et que je voudrais tant lui rendre pour tout ce qu’elle m’a donné quand j’étais encor’plus petit ". Alors que nonobstant leurs subreptices qualités personnelles (sont-ils probes ? intègres ? propres sur eux ? partageurs ? avec ceux d’en-haut ? d’en-bas ? du dedans ? du dehors ? juste pour le dire ? pour de vrai ? ? ?), les zélus qui se sont tant coordonnés, cooptés, contaminés, devraient être automatiquement dispensés d’avoir à nous servir de l’historiette. Ce qui supposerait qu’on se hâte d’exiger d’eux, avant encore deux-trois siècles, qu’ils s’échinent à nous démontrer leur sincérité et leur honnêteté autrement qu’avec du juré-craché. C’est à dire avec du comportement, du vrai, tous les jours et dans la dignité. A bonzes entendeurs, salut.

    Dédou Politicum


    votre commentaire
  • Les mots pour le dire

    Risée. C’est comme souvent un mot qui vient du latin. En l’occurrence de risus ; lequel nous a donné aussi rire, risible … Sauf qu’accoler rire et François rend possible que ce dernier soit sujet d’une action au demeurant fort agréable. Car se marrer fait travailler la bouche et les zygomatiques, témoigne en général d’une forme de bonne humeur et fait finalement assez plaisir à voir (sauf bien entendu quand c’est à ses dépens que l’on rit). Tandis que le voisinage de risée et de François ne fait jamais de lui que l’objet d’une attention dont il se serait bien passé, tant le discrédit qui accompagne le fait d’être la risée d’autrui vient surtout nous desservir. En guise d’illustration, si l’on parcourt la presse internationale, il ressort de façon assez unanime que le président actuel des Français est l’objet de risées récurrentes (en France aussi d’ailleurs). Et que, ce faisant, c’est la crédibilité du pays qu’il représente qui en pâtit. Serions nous un pays qui se veuille grand (par exemple défenseur inconditionnel des Droits de l’Homme) ou en recherche d’exemplarité, qu’il n’en faudrait pas plus pour anéantir tous nos efforts. Certes, ce n’est pas le cas, tant notre conversion au pragmatisme du commerce international (qui a succédé à celui du colonialisme d’exploitation) est ancienne. Mais quand même, pour assurer le moindre service après-vente encore faut-il être pris au sérieux par ses clients ! Nous nous réveillerons donc, putain d’Adèle, un beau matin fauchés, faute de clients ! Et ça, que non, NOUS NE DEVONS PAS L’ACCEPTER ! Poujade au secours* !

    Dédou di Capello

    * Je déconne Ginette, ne m’en veux pas !


    votre commentaire
  • L’HUMEUR MAUSADE DU JOUR (ET DU LENDEMAIN)

     

    A vouloir faire blog avec quelques uns on s’attache vite au petit Robert. Et s’il fallait encore que je fasse bloc avec Ginette, je m’attacherais bien sûr aux siens. Mais ce n’est pas d’actualité. Donc, disais-je, je dictionnarise aussi souvent que possible. C’est tout à la fois mon scrabble, mes mots croisés et mes questions pour un champignon à moi. Sauf que là je gagne à coup sûr et au moins un mot par partie. Prenons le mot " atterré ", qui m’obsède l’esprit (" obsession " venant du latin " obsidere " qui veut dire " assiégé ") et dont les illustrations semblent fleurir dans l’actualité de la veille et du futur proche prévisible. La citation de Voltaire qui accompagne le mot dans le dictionnaire : " la consternation qui avait atterré l’esprit des Génois "… pourrait aisément être remplacée par celle (la consternation) des Grecs, des Ricains ou des Gaulois. Alors on tourne autour du pot et on se dit qu’il y a finalement assez peu de conjonctures ou d’époques de l’histoire humaine dont on peut dire qu’elle n’ait rien eu d’atterrant. Pire, nous serions aisément assiégés, submergés, enterrés … bref mis bien mal à l’aise face à nous-mêmes si nous devions énumérer la série des erreurs humaines (les nôtres) qui se sont répétées et dont nous n’avons tiré, malgré d’indubitables atterrements émotionnels et autant d’on-ne-nous-y-reprendra-plus sincères, strictement aucune leçon. Donc voilà, après " Jack et les frais de bouche I ", " Jack et les frais de bouche le retour ", on a remis à nouveau sans coup férir les couverts pour un bon gros service de cinq années régaliennes. Bon, les amis, c’est à croire qu’on aime regarder ceux d’en-haut se régaler à nos frais. Quitte, au détour de l’un de leurs gros rots, à se sentir subrepticement atterrés …

    Dédou (dit " loco-dédou-del-sol ")


    votre commentaire
  • Tiens, allez voir la chronique de Laurent Greilsamer intitulée « Comment peut-on être bling bling ? », dans le Monde du 8 janvier 2008 . C’est étonnant dans le genre qui tourne autour du pot pour dire la « gêne » que causent résolument les faits et gestes « bling bling » de Nicolas Sarkozy. Pourtant, rien n’est particulièrement gênant dans le comportement de M.Sarkozy ... si ce n’est qu’il doive finalement représenter un pays qui se prétendait (récemment ?) une forme de modèle éthique. Rien n’est non plus de si paradoxal dans son goût pour le fric et les choses qui font du bien au ventre ; si les BOF ont fait fortune et que les 4x4 pullulent, c’est qu’il y a dans notre pays une part non négligeable de sa population qui ressemble au président Sarkozy. Lequel a d’ailleurs été élu par des gens qui devaient bien lui reconnaître des qualités.

    C’est finalement ce problème de « reconnaissance » qui rend si difficile l’analyse … sauf à dire clairement qu’il n’est pas possible pour l’analyste du Monde et la frange effarée de la population française qui attend toujours que ses élus ne se servent pas les premiers et montrent l’exemple (le bon), de se reconnaître dans ce président là. Non pas parce qu’il ressemble à un citoyen « vulgaire », lequel mériterait le respect au même titre que n’importe qui, mais parce que les enjeux politiques, sociaux et économiques,  que chacun pressent passent par l’instauration d’un pacte social basé sur le respect mutuel et la confiance de tout un chacun dans les règles du jeu et l’impartialité des arbitres … Que diantre !

    Dédou


    votre commentaire
  • _____________________________________________________________

    Lettre ouverte

    Appel aux citoyens marseillais et à ceux qui veulent les représenter

    Marseille n’est ni un bourg rural, ni une agglomération de banlieue. Elle n’est certainement pas la cité idéale, ni une ville typique du paysage français. Son urbanisme peut paraître tentaculaire, bien que les Marseillais s’y retrouvent toujours. Et sa population peut sembler cosmopolite, alors que tous ceux qui y sont nés, quel que soit l’itinéraire suivi par leurs parents pour arriver là, ne se vivent pas autrement que Marseillais.

    Ceux qui considèrent son désordre apparent comme l’indice d ‘un " retard " sur un quelconque modèle se trompent lourdement. Et ceux qui ont peur de son mouvement perpétuel n’ont peut être pas compris qu’ils sont au cœur d’une agitation nécessaire.

    Marseille est une exception. Pas au sens où la ville ne voudrait pas fonctionner comme il le faut, mais dans sa fonction sur le territoire français. Elle ne cherche pas à reproduire une identité (nationale ou régionale), qui témoigne d’un bonheur de l’entre soi, mais à générer un art du vivre ensemble. Cet art en constant perfectionnement est toute sa force et sa différence.

    Marseille vit et se déploie dans la diversité. C’est pourquoi nous appelons le plus grand nombre de personnes vivant dans cette ville-monde à signaler aux candidats à l’élection municipale de mars 2008 qu’ils brigueront à Marseille un poste particulier et qu’ils ne doivent pas l’oublier.

    Nous incitons les Elus de la République actuels et futurs à affirmer que tous les Marseillais méritent leur respect et que tous seront associés et traités avec équité dans les projets municipaux à venir.

    Premiers signataires : AVELINE Dominique (artiste peintre), BASACCO Marc (enseignant), BELLON Delphine (cadre), DI FURIA Laure (étudiante), GIANINETTI Christian (ingénieur), GIANINETTI Maryvonne (personnel éducation nationale), GUYOT Alain (membre collectif associatif), MILLE Annie (enseignante), TOMASINI Jeanne (écrivain), TOMASINI Macha (artiste peintre), TORCHEUX Christian (architecte), VASSALLUCCI Arnaud (enseignant), VASSALLUCCI Jean-Louis (ingénieur)


    votre commentaire
  •  

    -----------------------------------------------------------------------------------

    Les marchands d'escargots

    (en guise d'édito c'est un peu strange, mais ça détend)

     

    Quand un marchand d'escargots<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    Devient patron de bistrot<o:p></o:p>

    Petit à petit, le monde ralentit<o:p></o:p>

    Quand le verre était grand, il devient tout petit<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    La générosité reflue et le cœur s'engourdit<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Quand un marchand de soupe<o:p></o:p>

    Te vend ses entourloupes<o:p></o:p>

    Et que chacun se tait, par peur des représailles<o:p></o:p>

    Petit à petit, la confiance se taille<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Le cœur s'endort et la bouche te baille<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    Quand tout est livré aux marchands et aux loups<o:p></o:p>

    Aux gros crades, aux soldats et aux fous<o:p></o:p>

    Que l'amour est aux oubliettes de la peur<o:p></o:p>

    Que le peuple ramasse les miettes des menteurs<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

    N'attends plus bordel ! Réveilles tes sœurs,<o:p></o:p>

    Tes cousines, tes frères, ta rancœur,<o:p></o:p>

    Tes voisins, le boulanger, le facteur,<o:p></o:p>

    Et dis-leur ta très-très mauvaise humeur …<o:p></o:p>

     <o:p></o:p>

     JLV   01-2007<o:p></o:p>

     

    votre commentaire
  •  -------------------------------------------------------------------------------------

     <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    LA PENSEE DU JOUR (ET DU LENDEMAIN)

     

    <o:p>Nous en sommes arrivés là. Et après ? Qu’adviendra-t-il de nous, citoyens de quelque part et nécessairement du Monde, quand aura été tournée la page sur la période qui a vu Bush, Berlusconi, Chirac, Poutine et quelques autres, insuffler leurs mensonges, leurs suffisances, leurs cynismes (…) à de vastes ensembles humains plus ou moins éberlués, voire hébétés ? Transmettront-ils pour longtemps en héritage à l’Occident cette sourde violence qui aura caractérisé le rapport à l’autre (l’étranger, basané, noir, différent, envahissant, nuisible …) de ces gouvernants là ? Serons-nous capables d’aller voir les causes ? De chercher des solutions ? De penser la durée autrement qu’à hauteur de nombril ? S’il n’y a, à l’évidence, pas de « terre promise » qui puisse nous fixer un cap, pourquoi ne changerions nous pas notre façon de voyager ? Plus légers. Plus partageurs. Moins enclins à supprimer l’obstacle (y compris de chair et d’os) par la force… Ce n’est pas impossible. C’est même ici et maintenant. Entre gens dignes et respectueux. Alors, quelles que soient leurs étiquettes, leurs statuts, leurs pouvoirs d’intimidation, commençons à désigner ceux qui excluent et gèrent par la peur. Et soutenons, contre eux, les modestes, les patients et les défenseurs de l’intérêt général. C’est du boulot. Mais du boulot que l’on ne regrette jamais (quand ça ne marche pas, on regrette souvent de ne pas en avoir fait assez)...</o:p>

    <o:p></o:p>

     

    JL Vassallucci


    votre commentaire
  •  

    <o:p>La démocratie n’est pas un mythe. C ‘est même, de plus en plus, un devoir. Parce que l’échelon individuel ne pèse guère face aux grandes organisations humaines (états, entreprises multinationales, groupes d’intérêt …), voter est l’une des dernières possibilités qui est laissée au plus grand nombre. Pour le reste, il lui est surtout proposé de subir. Subir les « lois » du marché, les décisions des cyniques, les arrangements des réseaux de clientèle, etc … Le vote, exercé dans les conditions formelles de la démocratie, est probablement la dernière brèche dans le système de confiscation généralisé de la pensée individuelle. Ou, en tout cas, d’une pensée qui puisse, au delà de la critique ou de la plainte, avoir un  impact sur la réalité de nos existences sociales. D’où la nécessité de voir ce plus grand nombre réinvestir la sphère politique. Y injecter des préoccupations citoyennes. Y contester le droit de quelques apparatchiks d’y confisquer le préalable nécessaire à un vote démocratique : à savoir des partis politiques nourris de débats d’idées et ouverts à la possibilité de voir des gens sincères et aussi désintéressés que possible (si ce n’est par l’intérêt général) accéder au suffrage universel. Quoi qu’il advienne à compter de 2007 (démarrage d’une série de votes qui transformeront notre pays), l’enjeu sera là. Faire en sorte que nous ne nous sentions pas définitivement impuissants et abandonnions notre seul recours contre les abus du Pouvoir. Ce sera dur. Surtout si le cynisme ne connaît plus aucun clivage. </o:p>

    <o:p>JLV</o:p>


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique