Une fois nest pas coutume, nous nous zen allons critiquer. Cest que ça fait du bien parfois Alors voilà, si Ernst Junger fut pris sous son aile par Brecht (le premier, passablement nazi, aurait pu avoir de gros soucis si le second, tout coco-communiste, ne lavait pas défendu en 1945), cest que MoDem peut bien épouser qui elle veut ! Car, répétons-le (pour paraphraser Guitry), tout est dans tout et parfois bien profondément imbriqué quand on y met du sien. Pour ne pas cesser dêtre grossier, on pourrait dire que lorsquil sagit denfler les peuples les queues de billard ne manquent pas sur le tapis du billard politique. Serais-je polémique ? Nous niquerait-t-on ? Bien sûr que non, car en démon-cratie, nous ne niquons que nous-mêmes. Benoîtement et la bouche bée, nous savons, nous subodorons, nous nous émouvons que la caravane passe et que nos principes moraux (mots-rots) trépassent, et pourtant tout dure dans la bananeraie de moins en moins dissimulée où viennent goulûment festoyer MoDem, ses prétendants et la ribambelle de leurs courtisans. Mais où zallons nous donc me direz-vous ? Car si nous savons et ne faisons rien, cest que nous ne pouvons rien faire et que nous sommes zimpuissants ? Et donc nous serions condamnés à la niquaison de ceux qui peuvent ! Bref, comme cette Adèle (que lon dit putain) nous serions les victimes consentantes de nos enfleurs de peuples ? Et nous zaimerions ça au fond ? Et bien moi je vous dis que non. QUE NON ! Cest ce que lon veut nous faire croire ! Mais oui Ginette, jteldis. Croives moi ! lamor dAdèle est conditionné par les médias et les moyens de conditionnement des masses (non, jai pas dit quil faut que tu mla masses laisses moi finir !). Bref, cest tout. On va finir par croire qu élections-piège-à-con demeure le seul mot dordre possible A bonzes entendeurs encorsalut.
Dédou Politicum Perseverarum