Putain, le le Pen est à Marseille... On lui a pas dit que la ville est un monde à elle seule et que ses couillonades nationalistes n'ont aucune chance d'y prendre solidement racines ? Mais qu'il retourne au Nord de la Loire le Breton-éborgné !
Alors, je passe mon tour. Si quelqu'un veut écrire ce soir je lui file mon clavier et mon drapeau italo-algérien. Moi j'éprouve même pas le besoin de lui agiter sous le nez au le Pen. Je le toise paisiblement, je le méprise et je vais me coucher.
Bises à tous les Marseillais, d'où qu'ils viennent.
Dédou