Cest lété. On dort. Fait chaud. Faut pas pousser. La libido aussi est semble-t-il plus sollicitée parce quil fait chaud, quon a pas besoin de pousser loin pour voir la chair dautrui et que la méfiance climatique sendort permettant aux protections individuelles de salléger jusquau bikini. Donc, lété aidant on est plus aisément dans ce dedans où le nombril se repose comme heureux face à lui-même dans la béatitude quil a quand il se trouve plaisant et sans doute apte à plaire (aptaplair jtedis). Alors cest bien et les commerçants de boissons fraîches nous zaiment aussi. Faudrait être méchant pour être con (ou linverse) en une saison où les couloirs chatoient de couleurs sans choir tandis que boirdu noir devient pêché. Et quen plus nos zamis médias sont tant prêts à nous zaider à nous détendre aussi avec des magazines de décorzéjardins sur tous les présentoirs. Alors, je vais simplement me tourner et continuer ma sieste et foutre ce bout de papier au chiot. MAIS NON ! Ma conscience prolétaro-citoyenne me linterdit ! Je vais frapper le texte siesteux et men aller faire recycler le bout de papier pour que le développement durable dure ! Et même que si jétais américain, je voterais aussi Obama (sèrieux) au passage parce que je suis convaincu quêtre empêtré dans des frontières étrique lesprit et que lavenir, le seul durable, passe par le melting pot, la fluidité et louverture (un type black de lère internautique minspirant plus de tout ça quun marchand de pétrole texan configuré comme un lecteur du figaro disons son équivalent amerloque). Donc voilà. Sieste. Bises. Et si vous êtes citoyen dAmerloquie, votez et faites voter OBAMA ! ! ! Le monde de demain vous en sera certainement reconnaissant.
Dédou Americum