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  • Lisez « Le mari des autres » de Marlène Lanoix (Editions Lafontaine, ISBN 2-912006-39-2), c’est un roman qui « nous entraîne au cœur de la solitude. Car la femme antillaise est seule, qu’elle soit mariée ou non », comme le précise la préface du roman.

    En outre, Marlène Lanoix n’est pas n’importe qui (mais personne n’est définitivement n’importe qui) ; c’est une femme qui promène tous les jours son regard intense d’antillaise solidaire sur les vicissitudes de l’existence humaine.

    Elle est paisible aussi, comme son bouquin ; parce que les difficultés de la vie forgent des essences qui ne s’émoussent pas sur de mesquins obstacles. 

    A vrai dire, je ne crois pas que son bouquin vienne concurrencer « Pluie et vents sur Télumée miracle » d’Ariane Swartz Bart - je l’ai lu il y a vingt cinq ans et n’en suis toujours pas remis -, mais  « Le mari des autres » est hors concours.

    Il en dit plus long sur la plume qui l’a tracé que bien des confessions délibérément intimes. Voilà. Alors, j’affirme haut et fort militer pour que le bouquin de Lady Marlène soit lu par un nombre toujours plus grand d’Antillais et de non Antillais

    Jean-Louis Vassallucci


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