• Bour’catastrophisme

    Salut amis dindons et frères cochons ! Allez en paix veaux vaches zé écervelés. Mais zattention à vous porteurs de capuchons, de stigmates et de races. Besogneux, endormis sous vos carapaces, joueurs de scopa et autres météqueux. Voici venu le Temps qui annonce les tornades et les gouffres. Le temps des zoiseaux de mauvais augures et des hérauts de populaires pâtures. L’heure est aux jeux de mains et aux nains de jardins ! Aux simulacres de réflexions et aux vrais zentourloupes ! Alors, prenez donc un beignet, je vous prie et n’hésitez pas à le manger assis (avant que le cul ne vous en tombe). Et regardez passer les zexécutants des zoeuvres zexcluantes. Les incendiaires pompiers lâchés sur les sans-papiers et les chiens de basses besognes sur les chevilles des zinterloqués. Voici donc venu ce Temps ! Ce fameux espace final qui s’étire depuis toujours (et s’annonce vrai de vrai à chaque changement de millénaire, de siècle ou les années bissextiles). Ce moment cacophonique où les trompettes qui puent te la bourrent la tête. Avec de la peur. De la bourqua (mais au cas par cas parce que faudrait pas éloigner les femmes d’émirs des boutiques de luxe). Et de la KATASTROFE. A l’ancienne. Avec la peau-calypse qui tourne au sombre . Et de la peur. De le peur encor’ …. A ce répéter tous les jours : c’est encor’loin la mort ? Pour demain ? Merde, alors …

    Dédou


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