• A pas grand chose près et même à très peu, j’aurais quasiment pu me marier. Je veux dire me re-re-marier parce que je le fus déjà deux fois. C’était, en effet, une nuit sans lune ; du genre de celle qui fait peur aux policiers qui savent combien dans l’obscurité se tapissent les vices. Je voulais me laisser empoter (pas emporter, non, littéralement " mettre en pot ", voui) par l’enthousiasme communicatif de l’amour naissant et j’avais dit à Ginette : au fond, comme on est pas si bête, et qu’on s’émeut, et qu’la’vie qui pass’ nous laiss’pas l’temps de tout fair’ et qu’là ça devient urgent, on pourrait bien s’épouser, non quèçt’en dis dis ? Faut dire que ma treizième mauresque (pour les non initiés, la mauresque se compose d’un gros doigt de pastis, d’un doigt mineur de sirop d’orgeat et d’un peu d’eau glacée – le tout versé dans un verre par commodité), LA TREIZIEME, voui, je l’avais mal digérée et, hormis quelques uns de mes orteils qui s’accrochaient au parquet, peu de choses en moi étaient encore en place. J’étais chamboulé. Car, à mon âge, la demande en mariage est un acte démesuré (c’est comme aller se constituer prisonnier à la prison des Baumettes pour un délit prescrit depuis trente ans). Mais donc, je l’ai fait. Et refait. Et j’ai insisté. Et quand j’ai ouvert les yeux pour voir l’effet, y’avait plus personne et elle est jamais revenue : conclusion, amore et mauresque ne font pas bon ménage et c’est tant mieux ! VOUI, TANT MIEUX !

    3615 Dédou


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  • Et si on parlait d’autre chose ? Et pas de ces Français quisoncons parc’quizonpeur de leur ombre nauséabonde et que d’tout’façon y’a plus rien qui vaille la peine qu’on s’batte (quand s’agit pas de baise Paul). Et pas non plus d’la mère Tartiflette qui sert de fair’valoir d’la fenêtre du Palais pour qu’les zânes y z’aient à brouter et les médias z’aussi (l’aimé Diaz aussi ?). Non, n’en parlons pas. Et n’allons pas voir du coup ce qui se passe dans les vestiaires du Loft des Miss. Non, surtout pas. Et encore moins dans les coulisses (coups-lisses ? je sais j’l’ai déjà fait) du goût-vert-ne-ment parce que converti au GRENELLE (mes GREDINS, greu-nelle, greu-luche, greeeeeeuuuuu .. ; ça sonne comme on aime, nous tous les zânes, non ? ? ?) et désormais durable (c’est à dire confisquatoire du bon sens collectif qui s’il se réveillait de temps en temps verrait bien qu’la ligne jaune est franchie depuis un bon bout de temps). Non, on va parler d’autre chose : et tes mouflets, tu leurs zoffres quoi pour Noël ? Hein ? Des andouillettes mangas venues du Japon qui te répondent gentiment quand tu leurs parle de toi et qui te donne la météo quand fait pas beau sous le Tropique du Capricorne !? Ouaou, c’est une bonne idée quand même. Dis-moi tout que je sache ; ça s’achète où ?

    Dédou Festum


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  • Malfrapadinguitude ? Fraternitude ? Fongitude ? Foultitude de merditude ? Bordel de Sud que personne ne croit net de charges, décharges ou bonnes volontés ? ! ? Oui, c’est même ainsi qu'en parlaient Sarah et Toundra sur la place du marché face au désert de notre intelligence collective … Car Margello, tu le savais par avance. Tu le subodorais de saperlipopettes embaumées : notre ville avait des relents de hareng et rien ne pouvait l’en sortir (du hareng saur, bien entendu). Marre-Seille dont pourtant les vrais amoureux ne se lassent parce que c’est ici que tout pourrait naître, croître et embaumer d’une fraternité vraie pas endormie de convenances. C’est ici que pour quelques rêveurs encore, la fantaisie pourrait créer l’abolition des frontières et des mesquineries douanières. C’est ici que partager pourrait aussi se dire en plein de langues dont le dingo sudiste qui est une sorte d’aboiement bondissant (un peu comme le râle d’un kangourou le soir de ses noces). Alors, merdum et latinitude : c’est ainsi et notre peu d’intelligence du moment nous y mène un peu plus chaque jour jusqu’à ce que quelqu’un qui nous ressemblerait trop mais pas comme on voudrait y trinque parce que remerdum on aimerait être plutôt propres mais sans la gymnastique rythmique qu’il faut pour se laver même un peu soi même ou devant sa porte.

    Bon’nuit les zamis.

    D.


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  • Mais dis-donc l’ami Ricardo ; l’a bon dos le Marché ! L’est pas responsable de tout le cake 40 : Faudrait pas lui charger la mule sur les épaules pour l’accabler de tous les maux qui sont pas que les siens ! Si, si, je me fais le défenseur de Fifi et Nancy qui z’ont bien le droit de boursicoter pour pouvoir plusvaluter pour pouvoir s’acheter une nouvelle bagnole pour pouvoir aller vite sans prendre les transports (trans-porcs, mes cochons de con-tribuables d’En-Bas ?) en commun ce qui serait d’un commun j’t’l’dis INSUPPORTABLE. C’est ainsi qu’là faut le ré-péter une nouvelle fois pour le redire : le Marché, quand même, c’est un peu nous tous ! Certains plus que d’autres en profitent, oui, mais tous on y con-tribue (putain de tribut de cons !). Donc voilà , l’Marché c’est nous … alors, serait temps d’ARRÊTER.

    Et puis, trêve de déconnade mes citrons ; faudrait vite fait cesser de s’les laisser presser outrageusement par des bourses-i-côteurs qui sont aussi les mêmes qui nous malgouvernent façon Titanic …

    Dédou Titanicus


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  • J’t’l’jur’ Benoît j’ai pas mangé de noix ! Et y’a quatorze ans j’avais mêm’pas toutes mes dents. C’est dire, Bachir, si ta bombe de Karachique j’pouvais même pas savoir qu’elle allait exploser. Et puis, dans les fonds de cours du Tiers-Monde, y’a plein d’indigents qui consomment rien depuis longtemps et qu’ils ont tellement faim (les zenragés) qu’ils te boufferaient toutes les noix et le reste. Et puis, y’a pire … les pires des pires … les Pédro et Phil ! Ce tandem Pédro-Phil qui t’enfil’ méchamment tous ceux qui se méfient pas de tout et qui tournent le dos au zus zé coutumes bien d’chez nous. C’est eux les coupables. Hé oui ! Benoît, tu t’en doutais pas un peu ? Pédro-Phil j’t’le dis y zont bouffées toutes les noix du gouvernement du Pakistan (pas qui s’tend ?) et alors y’a eu la Bombe. La BOMBE. Plutôt que d’aller chercher des saletés de vérités de juges empêchés de faire leur boulot et qui en sont tout remontés écoutez donc la vox populi susurrée d’En-Haut : c’est Pédro-Phil, c’est Pédro-Phil, c’est Pédro-Phil, … Et dormez bien (sur le dos et les fesses serrées !).

    Dédou marchandus de sablum


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  • Fallait le dire papalement ! Prendre un le ton sombre des grands inspirés ! C’est fait : le Benoit l’a dit - comme un chien qui découvre que depuis la veille ou on sait pas quand il a une queue – " la capote c’est pas toujours mal et ça peut mêm’ t’éviter d’être kaput ". Grande découverte. Extase mi-stique, mi-raisin. Con-trition. Bitte-jeune. Et dague-jeune aussi. Faut observer aussi que certains s’en sentent à ce moment même de l’Histoire dans l’humeur qui est celle de se mettre au garde à vous (Berlu-ce-coni a certainement dû lui aussi ô-piner encore une fois du chef qu’il est). Car pour qu’enfin un Pape du XXIème siècle dise le mot Kapot fallait que de la Modernité fut passée par là qu’on nous dira et redira sur les ondes TSF ! Et ça, c’est bien quand même … Bref, faudra au moins un con-spirateur, stipé, stupide, comme je le suis pour con-sidérer que tout ça (Kapot pas Kaput et tout ce qui en est dit) n’est qu’un coup de pub pour un gros bouquin qui parlant cul-te sans cul-butes se serait pas aussi bien vendu peut être …

    Dédou Anticlericalum


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  • Je suis niais un beau jour d'été. Oui, oui, niais au monde. Comme on tombe d'un fruit pour en être le pépin. Niais tout cru et nu alors que pourtant y'avait pas d'endroit où se baigner là tout de suite mais je pressentais que pas loin y'en avait alors je m'éais fait tout beau comme un pépin en maillot de bain. Bref, je suis niais et je me l'assume. Tous les matins, je me dis, putain que c'est bon d'être niais ! Tout m'échappe et je sais pas calculer, commenter, articuler, faire des plans sur les comètes ou décrocher des lunes, enfumer les brumes ou séduire les foules, faire le plein des votes de mes pairs ou de mes moitiés ou des légumes du potager ou des classes ouvrières ou des petits commerçants ou de toutes catégories sociales con-fondues en une masse à malaxer ... Je sais donc rien faire d'utile à la société et à ses appareils (et ses gènes itou). Mais j'ai la grande certitude que toute ma niaiserie est un cadeau ... bien que je ne sache pas de qui, parce que personne dans ma famille élargie ne souhaite se reconnaître niais. Et donc, bien qu'un peu seul, je ne me vis pas mal accompagné. Et vous invite à en faire autant chaque fois qu'à force d'être enfumé vous vous égarez et à garder la certitude qu'un niais vaut mieux que deux enfoirés.

    Bises

    Dédou


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  • C’est en Italie. Il ne fait pas nuit, mais presque. Malika, alias Ruby, a gardé ses habits, mais pas les filles autour du Berlu-ce-Coni. Lui, il est roi d’Afrique mystique. Porté par un mythe, il s’est dénudé. Et ses naïades aussi. C’est un bain de jouvence pour le Coni septuagénaire. Alors, il le dit lui même quand on lui demande : y’a bon bunga bunga ! C’est pas nouveau, en Afrique, chez le Primitif Authentiquement Fabriqué (et PAF), c’en est bien la règle érectile : le roi bande et les donzelles ne s’en plaignent pas. Et l’Italie, c’est tout prêt et le latin est connu pour avoir la trique que non de non de nature assassine qui ne se dément pas ! Donc c’est là que Malika se fait arrêter et que Berlu-ce-Coni (Roi d’Italie encore bien PAF) la fait libérer (au passage en la faisant passer pour la nièce d’Hosni Moubarak l’Egyptien quand la belle est Marocaine mais au Sud tout est permis dans l’amalgame à deux balles et un dindon rôti …). Bref, il fait pas encore nuit … mais ça va pas tarder. Et les dindons pourront vaquer, primitifs, authentiques et rôtis. Qui s’en plaindra bande de pov’cons sans cervelles ni zizis ? Et qui empêchera désormais les rois d’Afrique, d’Asie et d’Ici de se payer une bonne partie de bunga bunga ! ? !

    Dédou Bunga et Gaga


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  • On s'est déjà trompé avec les bonnes femmes qui font de la peau-litique. Elles l'ont tannée de la tête aux pieds. Et sur ce cuir dur les coups glissent. Tandis que souvent en coulisse (coup-lisse ...) un bonhomme leur tire la ficelle pour les mener où bon lui semble (oh, hisse). Et puis y'a eu Royal et son fouet militaire pour les turbulents, quand même ! Et ça devrait en calmer des cancrelas. Mais là ... on va y repiquer un coup-bis. Parce que la sévère Eva nous la parle belle. Avec son accent elfique ou scandinave elle nous remet le feu grégeois en émoi comme après un bain au pétrole ! Et cela, pour faire bref, nous enchante, en des temps où tous les connards qui se la pêtent semble avoir décidé de s'encarter de Droite, comme de Gauche. C'est comme si la langue jolyment maniée redonnait un peu de sens à la Quête. Alors oui, nous voterons Joly si d'ici là son vélo ne finit pas poussé aux orties ou sous une camionnette...

    Good luck Miss Joly

    D.


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  • Rien n'est plus tragique que ce destin qui se répète pour nous convaincre qu'obstinément l'Humain est une bête qui sommeille et que finalement rien en lui n'est à respecter. C'est bien commode. Et ça permet à ceux qui ne veulent rien de ne rien vouloir. A ceux qui veulent faire pour eux de se servir d'abord. Et à ceux qui ont tout de ne rien partager avec ce magma bestial d'en-bas qui ne mérite même pas la cravache que la valetaille du grand capital érigée en gouvernements démocratiques leur sert. C'est ainsi, toujours et pour longtemps à la mode. Il faut donc s'attendre à ce qui se racontait il y a quelques décennies sur la meilleure façon d'être citoyen, voire de défendre et promouvoir les Droits de l'Homme, s'étiole et disparaisse pour s'inscrire au registre désuet des pratiques archéologiques plus du tout modernes. Alors je dis : Marta sors ton marteau et viens nous raconter ta façon primitive d'être une femme. A coups de massues. pour dire que dans les cavernes fallait ça pour porter la culotte. Et puis Gianni : ressors ta Brigade Rouge pour redire que quand tout gêne y'a plus d'espoir et que là reste plus qu'à frapper sur les tronches. Voilà, c'est tout le bien que je vous souhaite. Et bonne nuit chers zhumains.

    Dédou Matracum


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  • C'est l'été. Quoi donc de plus normal que de parler dans les médias de voyages, et de gens, et de gens du voyage, et de gens que l'on veut faire voyager pour les promener un peu (surtout s'ils n'ont plus les moyens de partir en vacances). Ainsi donc, comme c'est l'été, les seigneurs du Palais se sont dit "si on emmenait tout le monde se promener et surtout quelques gens du voyage que comme ça ils seraient pas dépaysés dis'donc mon dindon ?". Car s'ils sont bien bêtes en cours (Bettencourt sa mère ne s'en plaindra guère) et on ne nous en veurs't'drap'pas de les embobiner un peu tous ces cons qui auraient dû rester couchés mais que l'été a forcés à ouvrir leurs fenêtres et qui maintenant sentent les relents de magouilles filtrer des égouts du Palais ... Donc voilou que nous ferons'un peu zécrans totaux pour les protéger des rayons qui te cuisent la peau et qu'ATTENTION faudrait pas en faire trop ressembler à des Roms ou à des Indiens. C'est ainsi et c'est l'été ... Mais faudrait pas oublier dans quel pays on est.

    Dédou Stival


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  • That's time. Faut s'détendre. Cesser d'entreprendre. S'étendre on the beach (on the bitche pour les plus aventureux). Sortir les tongues. Et bronzer. BRONZER à s'en griller les méninges et le libre arbitre. BRONZER comme un con, mais un con heureux qui comme tout bon con ne sait pas pourquoi (sauf lorsque son équipe de foote préférée a marqué le but dans le filet de la ménagère d'en face). Et puis BRONZER pour s'assurer l'amortissement ostentatoire de la seule vraie période de liberté de l'âge adulte du salarié moderne emprisonné dans ses crédits, le prêt à porter et le prêt à penser télévisuel. Bon, donc, BRONZER pour bien montrer que le vacançage a porté ses fruits (bien mûrs) et que la reposure a produit son effet bénéfique qui doit t'obliger pendant quelques jours au moins à ton retour à sourire comme un con (oui, mais heureux). Bref, plutôt que d'écrire toujours la même chose sur ce blog, je vais zaller me faire bronzer quelques semaines et reviendrai vers mes claviers disons vers la fin de l'été.

    Bachos

    Dédou Vacancum


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  • Salut amis dindons et frères cochons ! Allez en paix veaux vaches zé écervelés. Mais zattention à vous porteurs de capuchons, de stigmates et de races. Besogneux, endormis sous vos carapaces, joueurs de scopa et autres météqueux. Voici venu le Temps qui annonce les tornades et les gouffres. Le temps des zoiseaux de mauvais augures et des hérauts de populaires pâtures. L’heure est aux jeux de mains et aux nains de jardins ! Aux simulacres de réflexions et aux vrais zentourloupes ! Alors, prenez donc un beignet, je vous prie et n’hésitez pas à le manger assis (avant que le cul ne vous en tombe). Et regardez passer les zexécutants des zoeuvres zexcluantes. Les incendiaires pompiers lâchés sur les sans-papiers et les chiens de basses besognes sur les chevilles des zinterloqués. Voici donc venu ce Temps ! Ce fameux espace final qui s’étire depuis toujours (et s’annonce vrai de vrai à chaque changement de millénaire, de siècle ou les années bissextiles). Ce moment cacophonique où les trompettes qui puent te la bourrent la tête. Avec de la peur. De la bourqua (mais au cas par cas parce que faudrait pas éloigner les femmes d’émirs des boutiques de luxe). Et de la KATASTROFE. A l’ancienne. Avec la peau-calypse qui tourne au sombre . Et de la peur. De le peur encor’ …. A ce répéter tous les jours : c’est encor’loin la mort ? Pour demain ? Merde, alors …

    Dédou


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  • Si ta cousine était lesbienne, tu ferais quoi ? Hé bien, moi, je ferais rien ! Ah bon, tu ferais rien, rien de rien, comme si de rien n'était alors même qu'elle pratiquerait assidument une pratique pas prévue par Mère Nature qui voudrait que tout geste sexuel fut destiné à se reproduire ?! Hé bien, non, moi je ferais rien, je laisserais ma cousine courir dans l'herbe et brouter le gazon comme ça lui chante ! Ah, ça alors, t'es super cool, libéral et open style, j'aimerais bien avoir un cousin comme toi ! Ben non, je ferais rien, rien de rien, comme d'habitude, c'est toujours comme ça quand je comprends pas, et d'ailleurs ça sert à quoi une lesbienne ? Putain, tu crains, tu réagis pas par choix ou parce que t'as la tête vide ? Ben, j'sais pas, j'ai pas de cousine ! Et alors là ... je suis sorti. La discussion de comptoir de bar tabac m'avait épuisé. J'étais un peu bourré, mais pas assez pour me rendre compte du vide de la discussion : avoir une cousine lesbienne quand on a pas de cousine, putain, ça craint ! J'ai donc repris mon chemin. Et petit à petit, je suis arrivé chez moi. Ma compagne, elle, elle a pas d'aspirations ni de cousines lesbiennes. Mais néanmoins, je me suis demandé, est-ce que tu l'aimerais moins ta poupoune si elle avait une cousine lesbienne ou si elle l'était elle-même ? Non, je crois pas que ça influencerait mon jugement. Elle resterait ma poupoune sereine et patiente et pleine de bon sens. Et je vous passe l'énorme liste de ses qualités... Et là, je me suis dit : qu'est-ce qui est rédhibitoire finalement, à part la connerie qui s'étale partout en nos temps ultralibéraux de l'extinction du libre arbitre ? Ce qui est rédhibitoire me suis-je constaté pantois c'est ce propos raie-dit-bitoire qui narcissiqueusement met la queue intestine au coeur de nos existences mutines ! Ce truc. Con. Mais qui marche. Qui est là pour obliger le plus grand nombre à penser en rond. Et qui te désigne par ici une cousine lesbienne, par là un trans-qui-lit (certainement des romans à l'eau de rose) et un peu plus loin un gay luron communiste et farceur. Autant de catégories bien pratiques quand il faut que la bêtise se fasse bête et méchante et se trouve des boucs et des émissaires.

    Dédou solidaire des laisse-biennes et autres


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  • Ils sont heureux les messieurs de la finance. Ils ont le marché pourpre et joyeux. Le CAC malicieux. La plus value velue ... Dans leurs rêves, les zévènements s'enchaînent dans le positif croissant d'un compte en banque artificieux où les zanges ont des ailes obligataires et les couillons le porte monnaie obligatoire. Les couillons s'entendant au sens du plus grand nombre laborieux qui vit au fil de son seul salaire ... Les ailes obligataires se dessinant au gré des parachutes dorés, des plans de relance et des garanties zétatiques de pouvoir plumer le couillon sus nommé en paix ... Les zanges représentant cette espèce toute bénéfique au profit qui ressemble au couillon quand on  lui a coupé les couilles et fait pousser des ailes autonettoyantes, car sous contrat avec une blanchisserie franchisée dont le capital est déposé au fin fond d'un paradis fiscal ... Oui, mes zamis, il y a du bonheur en ce monde et la presse berlue et s'connienne sait bien s'en faire écho pour que résonne en nos moignons cérébraux cette douce sensation en partage. C'est ainsi et c'est bien. Il fallait bien que l'Histoire trouve sa fin et nous y sommes. Certains plus habillés que d'autres. Mais qu'importe, puisque tous heureux. Merci les financeux ...

    Dédou Amicaloum


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  • Purée de crapauds. Potentats crapuleux. Pétrole calamiteux... Il nous en faudra du temps pour muter ! Le temps sans doute pour nous voir décimer (en nos âmes ou en vrai) jusqu'au dernier des zhumains de cette planète, pas si putain puisqu'elle estime semble t il désormais avoir assez donné. Plutôt qu'indignations vaines et écoeurements d'en avoir déjà trop avalé, faudrait tout de même que ceux qui n'acceptent pas de partir en vain se prennent par la main pour exiger du devenir ... pour ladite planète (faute de pouvoir lui rembourser quoi que ce soit dont  les plus cochons d'entre nous se sont gavés et espèrent se gaver jusqu'à la tombe). D'exercices de pur charisme en jongleries politiciennes, faudrait que nous abdiquions aussi de l'idée que la solution viendra d'ailleurs. Que des nantis bienveillants partageront et qu'au fond l'humain est tout bon (certes comme le cochon) et qu'il donnera en temps z'utiles la priorité à un jeu collectif qui tirera le plus grand nombre vers le haut d'un ailleurs meilleur. Et faudrait finalement se retourner un peu. Le mal est fait. La misère en croissance rapide. L'inhumanité diffuse et insufflée au plus profond de nous. Les morts entassés et disparus et oubliés aussitôt. Nous sommes déjà après cette limite que nous voulons nous fixer avant de réagir (même si l'habitude est fermement prise par beaucoup, au quotidien, de tourner la tête et parfois de se dire si j'avais su ou la prochaine fois ça se passera pas comme ça ...). Alors, dès que possible. Fermez les postes de TV pour réapprendre à regarder ailleurs qu'à travers un écran et pivotez d'un cran sur le côté pour ouvrir le débat avec celui ou celle qui vous est proche. C'est un peu maintenant ou jamais.

    Dédou


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  •  La question se pose. S'entrepose. S'étire et se repose. Mais où est Salvador ? Vous savez, cet homme providentiel (pro vie d'en ciel ?); celui là même que les céfrans voulaient mettre (les cochons !) à la têt' de l'Etat y'a deux ans (y z'avaient rien trouvé de mieux que qui vous savez ... alors). Oui, Salvador ! Que l'on ador', tellement qu'il est fort' et qu'tes soucis y te les tords'. Salvador, Salvador … Salvador de vos amours ! Ou alors, c'était Mexicorps ? Je sais plus … Brèverie. Je reviens à mes poteries : Salvador es tu là ? Un coup pour oui, deux coups pour oui ! Et si tu réponds pas, c'est que t'es un pourrav'de ta mer' la hyène comme qui tu sais (pourtant bel et bien démocratiquement élu Chef de Tous). Brèverie encore. J'offre trois sous d'or à qui nous livrera Salvador, sourd ou mort ! Et puis merde … Pas de Salvador, pas de dodort, pas de roquefort, et peut être une occasion en or de réfléchir pour de bon à nos façons de faire et défaire la chose politique. Bande de doryphore' !

    Dédou … encor'


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  • Dis, tu la sens ma taxcarbon' ? Non, pas toi ! Toi, le grozindustriel il était pas prévu que je te la mettes. D'ailleurs le con-con le conseil con-constitutionnel y l'avait même embêté la bande à déruguler au motif qu'elle régulait le carbon' pour certains et pas pour d'autres (ceux là même qu'y faut laisser travailler tranquilles c'est à dire dans un monde tout dérégulé ...). Donc ceux-là y z'auraient pas eu droit. Alors, pour revenir aux zautres, y la sentiront pas non plus. Comme ça, on fait plaisir à tout le monde et même au con-conseil constitutionnel puisque là c'est EGALITAIRE dans le traitement. Du genre, tu la sentiras pas ma taxe et tous nous z'auront le carbon' ! C'est voilà comme ça m'sieur dame l'carbon' tu t'y abonnes et si t'es pas conne tu t'en remplis des bonbonnes, tu mélanges avec l'ozone, tu transformes en lotion' et tu t'fais plein de pognon' : comme ça tu te tires de la zon' (genre sur une île cochonne), sous l'palmier tu t'piques un somme et au réveil tu consommes. Dépêches toi quand même d'avaler tout ce que tu trouves, parce qu'à la longue, changement climatique and Co pourrait te retrouver, même aux zantipodes et te priver du droit d'exister pour de bon'. Du coup, putain, elle te manque ta taxcarbon', tu pleures sur l'épaule de Simone, mais y des chances que là non plus ça dure pas, que Simone remballe ses nichons et se cherche un abri de protection'. Franchement, cette histoire là qu'elle est conne. Le problème, c'est qu'elle rappelle un peu celle que nous vivons'. Et vive nous : bande de ons !

    Dédons


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  • Et bravo les Bretons. Merci les Charentais. Bisous aux Toulousains ... Gardez le cap et la bonne main. Conservez le sourire et envoyez se faire foutre les vils sans lendemains, les naseaux transis, les pinceaux communicants, les filous fillioniens, les méchants sarkoziens et les marcheurs zopas. Bibiche me disait tout à l'heure "j'aime bien ce philosophe Grec qui dit que les zhumains n'ont pas de racines mais seulement des pieds". Et moi j'aime bien Bibiche ... Et puis, j'aime bien mes pieds, parce qu'ils m'aident à me déplacer et à aller voir ailleurs ce qui s'y passe. J'irai donc prochainement embrasser Toulouse et puis la Bretagne, en passant par les Charentes. Et j'embrasserai sur mon chemin tous les gens souriants (je me serai rasé un peu auparavant et brossé les dents jaunes). En clair, je dirai à tous mon petit bonheur de voir cette nation composite s'offrir de temps en temps un sursaut d'orgueil qui rappelle les valeurs de sa lointaine Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. Parce que ce dernier (le citoyen) y'a des coins où on se demande s'il existe encore. Foutus Marseillais, pour tout dire, qui votent par exemple  pour le FN dans des proportions qui excèdent même le taux de descendants de Gaulois qu'on peut rencontrer ici (à supposer que la gauloisitude expliquerait d'une quelconque façon la bêtitute bestialisante de l'adhésion aux thèses de ce parti). Bref, résistez pour nous ... et mettez une grosse dose de bromure dans l'eau de la Durance (qui alimente Marseille en eau potable) de façon à éviter que nous nous reproduisions trop vite (et notre connerie avec)...

    Dédou


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  • C'est un moment improbable. Le Temps est à l'arrêt, accouché d'un mirage (je pique ce morceau d'idée dans un recueil de poésie). Tout est donc dans la promptitude du moment d'après voué à reproduire celui qui doit être encore là. Je m'explique : chacun a bien compris qu'il n'y a de solidarité qu'entre les démunis. L'essence de l'humanité est là : le geste généreux vient aisément quand on ne s'inquiète pas de perdre; alors évidemment, celui qui n'a rien à perdre n'a guère de handicap. Donc postulons que la richitude, admiratude béate des choses socialement valorisantes et autres soumission à l'idée d' "avoir plus - pour avoir plus" peuvent éloigner de l'essentiel (s'il s'agit de demeurer humain)... Ce qui nous fait revenir à nos moutons qui semblent prêts à repartir en rangs d'oignons sous la houlette du Capitalisme triomphant de sa Bourse bien remplie comme au beau temps des uniformes. Il y a quand même une morale à ce contexte globalement absurde (si ce n'est pour la minorité qui engraisse) : la solidarité des peuples (en tant que contribuables zélés) est systématiquement mise à contribution solidaire chaque fois qu'un trou est creusé par une "prise d'intérêt". Rapts boursiers, dépôts de bilans "avantageux", restructuration pour cause de redistribution de gros dividendes, les occasions ne vont pas manquer d'être de plus en plus solidaires. Merci. Merci.

    Dédou


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